Pour vous rassurez, à plusieur endroit jai constaté la même chose que vous, les conditions meterologiques exeptionnel de l'année passées (chaleur et humiditée, sur toute la France) n'ont vraiment pas étaient favorable à l'hypericum, faite un taille classic, sauf en cas d'infection (champignions ou insectes à surveiller)il n'y aura pas de probléme
Par une taille sévère (20 cm du sol), de maintenant jusqu'en mars, vous encouragerez la formation de nouveaux rameaux très vigoureux et vous éviterez son vieillissement; De plus vous retrouverez une floraison abondante. A faire tous les 3 ou 4 ans. Les autres années vous aurez seulement à éliminer les rameaux qui perturbent l'harmonie de la touffe.
merci Christophe et Jean-Pierre pour vos réponses.
Bonjour Jean-Marie, j'ai juste une petite question, est-ce que cette plante est rustique et supporterait le climat breton, ça peut descendre dans les terres à -10°, voir - 15° certaines années. Ou se procurer des graines ou des plants ?
Bonjour, c'est une etude pour connaître vos besoins (en bref vous vendre des choses)
Aie la chaleur n'est pas très bonne pour votre citronnier, regarder sur se lien : http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/fp_agrumes.php3 , il vous expliquera comment entretenir votre plante.
l'asperge se plaît mieux dans les terres légères (sableuses), mais elle vient bien également dans la bonne terre riche en humus et bien drainée. Un peu compliqué à mettre en place (fumure de fond etc..), mais une fois installé, ça dure longtemps et ça vaut vraiment le coup. Je vous conseille de regarder un bon livre de jardinage et suivre les recommandations à la lettre. Cette culture ne s'improvise pas vraiment. Bon courage en attendant de se régaler (au moins 3 ans).
Le "mur végétal" tel que l'on voit dans certaine ville n'est réalisable qu'avec le concoure d'un professionnel mais cette technique est encore très onéreuse non pas en main d'oeuvre mais en cout des matériaux. Il existe aussi ce que j'appelle la clôture végétal, voir sur http://www.greenwall.fr/ ce système peu être réaliser sans professionnel (pensez à installer un goutte à goutte de temps à autres entre ces briques), une autre solution beaucoup moins onéreuse consisterai à faire pousser un grimpant (lierre, chèvre-feuille, vigne vierge (attention caduque), glycine,...) et plus simple d'entretien
merci Christophe de votre réponse.
Allez voir le site de Patrick Blanc le spécialiste de ce genre de travail (http://www.murvegetalpatrickblanc.com/)
Un résumé sur la culture, l'entretien et la protection du Mimosa, la plantation se fait à l'automne ou au printemps ( en région froide, préférer le printemps ) faite un trou 3 fois plus gros que la motte et en tout sens, mélangez la terre à un terreau horticole (1er prix), l'apport supplémentaire d'engrais n'est pas indispensable, si le mimosa est greffé, il ne faut surtout pas enterrer le point de greffe au risque de voir le porte-greffe pousser, un sol acide est nécessaire pour de nombreuses espèces, avec un pH idéal entre 4,5 et 6 et il doit être dans la plupart des cas léger, bien drainant, ajouter une couche drainante au fond du trou de plantation si nécessaire (toutefois certains mimosas poussent en sols salés, d'autres dans le sable attention à votre espèce), un tuteurage est indispensable, car les mimosas ont des racines superficielles. Il est fréquent de voir des arbres couchés par un coup de vent violent, et leur survie est alors très difficile - Pour l'entretien : la plupart des mimosas redoute l'excès d'humidité et souvent le calcaire contenu dans l'eau (le calcaire provoque des chloroses « un jaunissement des feuilles et l'arbre est un état très affaibli » sur les espèce sensibles), planter un mimosa au milieu d'une pelouse bien arrosée est donc à éviter, en faite très peu d'arrosages serai mieux conseillé, (sauf les 2 premières années après la plantation) Il est à noté que, en pot, le besoin en eau est très important pendant la floraison. La taille : toujours tailler après la floraison, la suppression des graines favorise la pousse de nouvelles branches et empêchent la propagation, souvent catastrophique, dans tout le jardin. — et la Protection : Un paillis de feuilles ou de paille de 30 à 50 cm protège le pied et les racines superficielles, et le point de greffe si nécessaire en cas de risques plus importants, un voile d'hivernage autour des branches permet de gagner quelques degrés, voila pour d'autres renseignement n'hésitez pas et bonne année 2008 à vous aussi
d'où vient cette variété ? est ce une variété ancienne ? dans quelle région habitez vous ? Avez vous consulté le site des "croqueurs de pomme " pour l'identifier.
je pense que vous pouvez trouvez cette variété chez kokopelli. voir le site internet
Non surtout pas la cicatrice se ferait très mal, la taille dites d'hiver aurait du être effectué de aout à septembre (arbres à pépins comme le poirier et pommier), il ne vous reste plus qu'a attendre la taille d'été (dés la fin des gelées hivernales) les arbres à noyau sont à faire après fructification (dés qu'ils n'ont plus de fruits)
merci Christophe, j'ai failli faire une connerie!
seulement partiellement d'accord sur la taille.en effet il faut éviter de tailler lorsque le bois est gelé. 1/ on risque aussi de casser sécateur et scie égoïne surtout si on utilise du matériel de marque Felco ( les rolls du tailleur qui coupe comme un rasoir mais à lame très fine mais fragile) 2/ quand on taille par temprs froid, le tailleur se les gèle et préffère attendre des jours meilleurs. Autrement, si la températive est positive , on peut tout tailler , surtout s'il s'agit de taille de formation. Il faut préviligier la cérise et la prune que l'on peur tailler jusqu'en fin Février. le pépin et principalement la pomme pout se tailler jusqu'au débourrement. Prévoir un mastic cicatrisant , surtout pour les arbres à noyaux. juste un bémol, si vous avez des gros cerisiers à tailler, avec coupe de grosses branches, il est préférable de le faire apès la récolte des fruits, vers la fin juillet.Toujours avec mastic cicatrisant. si vous avez des questions sur le greffage, je suis dispo.Possibilité d'envoi de greffons. j'habite dans l'Est de la France, proche de la frontière suisse et je suis passionné par les vieilles variétés. A vous lire
Bonjour, j'ai consulté un site bien fait à ce sujet ci-dessous mais reste le problème de l'homologation, il faut mieux se renseigner près de la DDE de votre département ou peut-être de l'ADEME :
http://www.pensifs.com/sciences/divers/eau-lagunage-bassins.php
Il ne faut employer que du vieux fumier au potager (d'au moins un an). Je l'emploie à la fin de l'hiver au moment du bêchage. Si j'étais vous, je couvrirai le tas d'une bâche (une fois bien mouillé) et il continuera à mûrir tranquillement avant de l'enfouir au début de printemps.
La bouture de framboisier se pratique principalement, pour son efficacité, en septembre en prélevant un rameau de 15 cm de l'année passée. Vous pouvez aussi les mettre en pot, en serre froide (vérandas, fenêtre cuisine,..), pour les replanter dés les racines sortie. Mais sachez que le déterrement des rejets et plus efficaces que les boutures. Pour les groseilles ont pratique une bouture à talons en fin d'hiver, voila il ne vous manque plus que les cassis et les mures
rabattre les rameaux à 2 ou 3 cm de la pousse de l'année précédente en lui gardant sa belle forme arrondie, plutôt en mars avril. Si vous voulez une taille de restauration, c'est plus compliqué car la lavande ne produit pas de jeunes pousses sur les vieilles branches. Il faut donc donc tailler les branches au-dessus des jeunes rameaux de l'année précédente le plus près possible de la base ou juste au-dessus de bourgeons biens visibles. faire ça aussi en mars.
merci beaucoup je vais attendre le mois de mars
Ce sujet a déjà été traité (comme les traverses..). Tapez "traverses" dans la recherche mots clés ci-dessus et vous verrez ce qui a déjà été dit .
Effectivement, j'ai fait comme vous avez dit et j'ai bien compris que pour le potager c'était exclus. je comptais également m'en servir comme piquet pour entourer un petit champ ou je dois mettre un poney et je crois que vais les réserver pour ça. Merci
C'est le plein moment pour faire ça. Contactez-moi directement par e-mail, j'ai de l'osier si vous en voulez (25 km nord de Rennes).
Retravaillez progressivement sur la taille de formation, ne surtout pas faire une taille de fructification, (gardez, si en port libre une forme "gobelet", si non faite suivre, par palissage des rameaux, une nouvelle forme "palmette, double palmette, en U, ..")
J'ai l'impression qu'ils ont besoin d'un ravalement. Cette opération est beaucoup plus sévère que la taille et a pour but de rajeunir la charpente d'un arbre épuisé ou déséquilibré, quelle qu'en soit la forme. Les branches de charpente sont réduites de moitié ou des trois quarts. Certaines d'entre elles (supérieures ou centrales) sont même suprimées. Les moignons conservés (masticer les plaies) émetteront de jeunes rameaux, ordinairement vigoureux, avec lesquels il sera possible de reconstituer la charpente détruite. En profiter pour bien nettoyer les troncs (brosser les vieilles écorces et supprimer les mousses). Le problème, c'est que pendant 2 ou 3 ans vous n'aurez pas de fruits, mais retrouverez de beaux arbres vigoureux et fructifères ensuite. Une autre solution est le regreffage ou surgreffage en couronne. Sur pommier et poirier, ça se fait très bien.
voila une trés bonne reponse de "victor", qui resume la taille de formation dont je vous parle plus haut(donc oui pas de mise à fruit avant 3 années), j'aurai pas pu faire mieu sans jargons technique professionnel. (toutefois j'émai un bémol sur la taille sévére qui risque de provoquer l'apparation d'énormement de "gourmant ou tire-seve" qui vont affeblir fortement le sujet essayer cette methode sur 1 ou 2 sujets puis une taille plus legére sur les autres, si vous constatez que les precedents support bien cette taille sevére, (pas ou peu de difference de maladie, pas de feuillage d'une drole de forme, pas un grand nombres de tige qui montent vers le haut..) appliquez celle-ci partout)
merci à Christophe et Victor
Bien sûr qu'il faut tenir compte des influences de la lune. Une des méthodes les plus reconnue est celle de bio-dynamie de Rudolf Steiner. Pour ma part, je fais attention lors de mes semis et repiquages. Semer ou repiquer en lune croissante les plantes qui montent (haricots, pois, tomates, etc..) et lune décroissante les plantes qui descendent (carottes, betteraves...) et salades (qui ne doivent pas monter en graines)...