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J'ai un jasmin dans un grand pot depuis 4 ans, il a fleuri la 1ere année, depuis il pousse en feuilles mais sans fleur, pourtant je le nettoie chaque année, j'enlève les feuilles fanées, il est dehors à l'abri, soutenu par un tuteur en croix. Que dois-je faire pour qu'il fleurisse? LES FEUILLES SONT BIEN VERTES ET BELLES .

23/10/2007 réponse de : Christophe

Votre jasmin a t-il une terre légère suffisamment bien drainée, une bonne méthode le rempotage, vous disposerez une bonne couche de billes d'argiles au fond du pot puis un bon substrat composé de terreau type plantes fleuries pour deux tiers et un tiers de sable. Le mieux sera de le rempoter tout les 2 ans, pour à la fois adapter votre pot à la croissance et apporter un bon terreau.

Cette année, sur ma terrasse, j'ai constaté à mon grand désarroi que certains arbustes (rosiers, groseiller, framboisier, forsythia, photinia, chèvrefeuille et même le lilas, le basilic, le mesclun...) voient leurs feuilles réduites en dentelles, quand il ne reste pas que les nervures. On m'a parlé des larves de tenthrèdes, qui sont je crois des petites chenilles. J'ai bien regardé, il n'y a aucune bestiole, si petite soit-elle visible à l'oeil nu, pas la moindre petite chenille. C'est vraiment dévastateur. j'ai essayé de mettre des insecticides (Decis), de tailler : rien à faire, les feuilles repoussent et sont à nouveau détruites. Que faire ?

23/10/2007 réponse de : Christophe

Il s'agit bien d'un insecte aucun champignons ou virus ne provoquent de tel dégât, essayer de débusquer l'insecte même à la loupe si il faut puis opérer avec un traitement adapté

Bonjour j'ai des poiriers qui sont malades de la tavelure. Est-ce qu'il y a un traitement à faire maintenant à la chute des feuilles ? merci d'avance.

20/10/2007 réponse de : bertrand serre

oui il faubra faire un traitement d'hiver ,puis de printemps pour assaini les arbres tu peux aussi passer de la chaux eteinte pour assainir les ecorces des fruitiers et ceci jusqu'à la naissance des branches charpentières salut

est-ce qu'on peut encore semer de la mâche maintenant ?

16/10/2007 réponse de : victor

c'est un peu tard mais il fait doux et ça devrait encore lever mais dépèchez-vous.

c'est la première année que je fais des topinambours et ils sont déjà beaux. Est-ce que peux les arracher et les récolter maintenant ?

15/10/2007 réponse de : victor

je ne sais dans quelle région vous êtes mais içi chez moi en Bretagne, ils sont en fleur et c'est beau. Ce serait dommage de les couper maintenant, attendez mi-novembre. Laissez-les en pleine terre et vous pourrez les récolter au fur et à mesure des besoins, de novembre à avril. Si vous les arrachez, ils vont se déssécher et vous ne pourrez pas les conserver.

Gilles Clément parle de l'arboretum de Melle.où il met en pratique ses idées, pour ceux qui s'en souviennent nous y étions allés visiter l'arboretum.
http://www.telerama.fr/monde/20411-
il_est_illusoire_de_penser_qu_on_va_resoudre_la_crise_ecologique_sans_changer_de_systeme_economique.php
?Il est illusoire de penser qu'on va résoudre la crise écologique sans changer de système économique.?
Publié le dimanche 7 octobre 2007 à 14h00 | LE MONDE BOUGE
Il ne veut pas d'un Grenelle de l'environnement mais une révolution ! Pour le jardinier écrivain, ce n'est pas en bricolant des réformes que l'on sauvera la planète. Rudy Waks pour Télérama
Ne lui dites surtout pas qu'il est courageux. Gilles Clément vous réplique qu'il est « juste un artiste, libre de donner son opinion » . Son opinion, il l'a dite haut et fort le 7 mai dernier, au lendemain de l'élection de Nicolas Sarkozy : ce jour-là, le jardinier-poète-voyageur, créateur du parc André-Citroën ou du jardin du musée du Quai Branly, annonçait qu'il rompait tous ses contrats avec l'Etat. Motif : dénoncer « un projet de société qui nous engage tous dans la destruction de la planète ». Sacrément radical dans un paysage français plutôt assoupiƒ Cinq mois plus tard, en plein Grenelle de l'environnement, vaste négociation initiée par les associations écologiques et orchestrée par le gouvernement, Gilles Clément persiste et signe.
Aujourd'hui, où en êtes-vous ?
Les agissements du gouvernement n'ont fait que renforcer ma position. Nous sommes face à un projet ultralibéral qui favorise la santé des entreprises plutôt que la santé humaine, mené par un président ouvertement fasciné par le modèle américain. Le modèle même qui menace le plus la vie, la diversité, la société, la démocratie sur la planète.
Nous savons très bien où cela nous mène, ce serait de la mauvaise foi de prétendre le contraire : il suffit de voir comment les Américains vivent, comment on les précarise tout en laissant entendre qu'il n'y a pas de chômage. Nicolas Sarkozy a clairement porté ce message devant les Français, qui l'ont entendu et se sont prononcés en sa faveur. Ainsi va la démocratie. Mais, en ce qui me concerne, je ne veux plus cautionner ce système, qui dévaste notre planète et détruit des populations entières. Et je considère qu'agir avec le gouvernement, de manière directe ou indirecte, c'est de la collaboration. Alors j'organise ma résistance, à ma façon.
Vous y allez fort !
Je reprends les mots de la guerre car j'estime que la situation est aussi grave. Voire plus, dans la mesure où le désastre écologique et social atteint aujourd'hui des dimensions planétaires, alors que la dernière guerre mondiale, elle, est restée localisée. Entendons-nous bien : il ne s'agit pas d'une position de résistance à Nicolas Sarkozy lui-même, mais à ce capitalisme financier qui nous broie peu à peu. Et qui pollue l'eau, détruit la diversité et la vie.
Je pense par exemple à cette invention monstrueuse qu'est la mise en Bourse du droit à polluer. Et qui permet à une entreprise, quand elle a trop pollué, d'acheter à une autre entreprise, moins polluante, un droit à polluer. L'an dernier, comme l'hiver a été doux, les industries émettrices de CO2 ont beaucoup moins consommé d'énergie. Elles ont moins pollué, et ont donc moins acheté de droits à polluer, si bien que les actions en Bourse ont chuté et que les actionnaires sont mécontents. Conclusion : pour gagner de l'argent, il faut polluer ! Je trouve gravissime que notre société ait pu en arriver là.
Vous ne croyez pas au Grenelle de l'environnement ?
Cela fait partie de la grande tricherie. Nicolas Sarkozy va parvenir à faire exactement ce qu'il veut, en ayant obtenu l'assentiment des ONG et des syndicats, auxquels il aura promis beaucoup de chosesƒ qu'il ne tiendra pas. Je ne pense pas qu'il s'agisse de sa part d'une prise de position en toute conscience. Pas question pour lui de revenir sur notre mode de vie, d'abandonner notre logique boursière, nos 4x4 et notre égoïsme.
Or il est illusoire de penser qu'on va résoudre cette crise écologique sans changer de système économique. Le capitalisme financier est fondamentalement destructeur. Et il n'a même pas besoin de la démocratie pour exister, la Chine en fait la preuve ! Tant qu'on n'aura pas changé ces fondamentaux, on n'avancera pas. Tout le reste sera de la poudre aux yeux, avec quelques résultats, habiles et ultra médiatisés. De petites concessions, comme diminuer la vitesse de circulation des voitures ou faire couler moins d'eau sous la douche.
Bref, un écologisme mondain qui permet de cautionner le système. Et qui refuse de débattre des vraies questions, comme l'aménagement du territoire, la remise en question de la voiture et des systèmes de circulation. Le symbole le plus frappant, ce sont les biocarburants, présentés comme une solution, alors qu'il s'agit d'une aberration écologique. Leur culture exige d'immenses surfaces qui viennent en destruction absolue de la diversité. Il faut les engraisser avec des tonnes de pesticides et d'eau. Et, au final, ils polluent à peine moins que les carburants traditionnels. En réalité, ils n'ont pour but que de maintenir l'activité de quelques lobbies, automobiles en particulier.
Ne sous-estimez-vous pas les ONG, les syndicats et l'opinion publique aussi, dont la sensibilité environnementale est de plus en plus aiguë ?
Quelque chose va forcément sortir de ce Grenelle, il y va de la crédibilité de ce gouvernement. Mais cela se serait fait dans tous les cas ! Toutes les mesures dont on parle aujourd'hui auraient été adoptées, tôt ou tard, sous la pression de l'Europe. Au mieux, nous allons rattraper notre retard sur nos voisins européens.
C'est un premier pas, non ?
Certes, mais je regrette qu'on y aille comme ça, par petits bouts. Alors qu'il y a de quoi construire une vraie politique, avec un projet économique cohérent, sur l'environnement et la société. Or personne n'en parle, à l'exception des Verts et, dans une moindre mesure, de José Bové. Peut-être est-ce trop tôt dans l'histoire de la France ? Le problème est que ça risque d'être trop tard pour la planète.
C'est plutôt inédit d'entendre un paysagiste prendre des positions politiques ?
Depuis trente ans, on me dit : « C'est bien ce que vous faites, ces beaux jardinsƒ » Mais, pour moi, être jardinier a toujours eu une dimension politique, même si c'est la première fois que je l'affirme aussi nettement. Il faut en revenir à l'étymologie du mot « jardin », qui vient de « Garten », autrement dit un enclos dans lequel on protège le meilleur. Le meilleur des plantes. Le meilleur de l'espace, de la lumière, de l'art de vivre. Le meilleur de la pensée : c'est un lieu de méditation, de discussion. Ce « meilleur » a été protégé, valorisé, scénographié à travers les siècles de façons extrêmement variées. A un moment donné, on a estimé qu'il fallait mettre en valeur l'eau : c'est le cas des jardins hispano-mauresques, depuis la Perse jusqu'à Grenade au XVe siècle. Mais il y a aussi le jardin classique, au XVIIIe siècle, qui met en scène l'horizon et où il est question de domination, de maîtrise totale de l'environnement. Ou le jardin romantique, au XIXe siècle, qui magnifie la nature en l'idéalisant et l'encadre comme un tableau.
Aujourd'hui, quel est notre « meilleur » ? La diversité et la vie, dans sa fragilité. Nous voilà brutalement conscients de la finitude écologique de la planète. C'est donc ça, le jardin : protéger la vie, l'exploiter — car on y est obligés —, mais sans la détruire. C'était tout le message du « jardin planétaire », que j'ai exposé à la Villette en 1999.
Vous avez récemment imaginé un « jardin politique », un jardin d'orties. Qu'entendez-vous par là ? Je l'ai conçu dans un contexte particulier, juste après les élections, en juin 2007, dans le cadre d'une biennale artistique consacrée à la « sagesse du jardinier », à Melle, dans les Deux-Sèvres. Une ville très étrange, dirigée pendant des années par un maire remarquable qui a planté un arboretum unique en France : des rues, une ancienne voie ferrée ont été transformées en promenades et truffées d'arbres rares.
J'ai décidé d'y faire un jardin à double thématique. Un jardin d'eau d'une part, où l'eau est purifiée par les plantes, pour pointer que partout en France, mais spécialement dans les Deux-Sèvres et en Bretagne, l'eau est totalement polluée par les traitements agricoles, industriels et domestiques. Et un jardin d'orties également, où l'on fabrique du purin d'orties, un soin curatif pour les plantes, que l'on distribue gratuitement tous les vendredis. Ce qui est totalement illégal. Car nous sommes sous le coup d'une loi inique, selon laquelle il est interdit d'utiliser des produits « non homologués », autrement dit tous ceux qui se vendent sous l'appellation « bio » ou sur les petits marchés. A moins d'une autorisation, qu'il faut payer 25 000 euros, ce que ne peuvent pas faire les artisans. Si on passe outre, si on commercialise le purin d'orties ou qu'on publie des livres sur le sujet — comme l'éditeur Bernard Bertrand —, on risque 25 000 euros d'amende et deux ans de prison (1) ! C'est encore un exemple de cette politique française qui vise à favoriser les grands lobbies et à interdire le petit artisanat, sur un marché du bio de plus en plus convoité par les grandes firmes.
D'où vient cette radicalité ?
La nature et le jardinage m'ont appris à observer. A constater, par exemple, que les insectes constituent un maillon-clé dans la chaîne du vivant. Et que tuer un insecte revient à tuer le jardinier aussi. Cela a même failli m'arriver en traitant un rosier ! J'étais adolescent, et mon père m'avait demandé de pulvériser un insecticide contre les pucerons : une poudre KB. L'engin m'a explosé à la figure comme un bazooka, la poudre est rentrée dans la blessure et je suis resté dans le coma pendant vingt-quatre heures. Je n'ai plus cessé de me questionner depuis : qu'est-ce donc que ce jardinage-là, sinon une pratique qui sert à faire prospérer une industrie qui n'a rien à voir avec la nature ? On en a chaque jour de nouvelles preuves, comme avec la disparition progressive des abeilles, fragilisées par l'accumulation des produits de traitement, une catastrophe majeure. Mais on refuse encore d'en mesurer la gravité, notamment parce que la France est un des plus gros consommateurs d'insecticides, et que les lobbies ne veulent pas lâcher prise.
Dans vos jardins, l'esthétique passe après le politique ?
La recherche purement esthétisante peut être intéressante. Mais cela reste de l'ornementation. Pour moi, un jardin doit d'abord répondre à une préoccupation de l'époque, illustrer une position de l'homme face à la nature. J'avais d'ailleurs sous-titré mon exposition de la Villette, consacrée au jardin planétaire : « projet politique d'écologie humaniste ». Une manière de dire que nous sommes tous embarqués sur un même équipage, que nous sommes tous liés — micro-organismes, insectes, oiseaux, êtres humainsƒ Et qu'en tant que passagers de la Terre nous sommes obligés d'en devenir les jardiniers. Nous n'avons plus d'autre choix pour nous maintenir en vie que de penser à l'eau potable, à la manière d'obtenir de l'énergie, à la façon de nous nourrir.
Jardiner, c'est une éthique ?
Est jardinier tout être qui prend soin de la vie car il en est tributaire. Quelqu'un qui n'a jamais mis les mains dans la terre peut s'avérer un excellent jardinier planétaire parce qu'il aura tout fait pour protéger la vie, sa diversité et l'équilibre entre les sociétés. Je pense par exemple à Jaime Lerner, urbaniste et maire de Curitiba, au Brésil, une ville passée de 300 000 à 2,3 millions d'habitants en trente ans. Il n'est bien entendu pas jardinier au sens où on l'entend habituellement ! Mais il a imaginé une ville qui s'étend en faisant le moins de dégâts possible, avec des transports en commun quasi gratuits, des circulations en voiture malcommodes, des panneaux de signalisation aux couleurs simples pour que les gens se repèrent même s'ils ne savent pas lireƒ A Curitiba, le tri des déchets se fait sur la base du troc vert : tous les quinze jours, les gens rapportent les produits recyclables qu'ils ont stockés et on leur donne, en poids équivalent, des fruits et légumes du marché, invendus mais frais. Je pourrais aussi parler des faroles del saber, ces petites bibliothèques gratuites en forme de phare qu'il a fait installer en face de chaque école. Des piá, ces maisons où l'on enseigne aux enfants des favelas comment jardiner, recycler, faire du pain, fabriquer des objets à partir de matériaux recyclables... Bref, Lerner gère sa ville comme un jardin, en pensant aux humains et à tout le reste.
Ça vous rend optimiste ?
Cette expérience est bien la preuve que c'est possible dans une grande ville et, qui plus est, dans un pays émergent. Des signes encourageants, il y en a beaucoup en France aussi, à l'échelon individuel ou à celui de ces micro-sociétés que sont les associations. Le problème est que ces énergies sont satellisées, manquent d'argent et ne constituent pas un véritable levierƒ Peut-être le sursaut viendra-t-il alors des jeunes générations ? C'est ce que je me dis parfois quand j'observe mes étudiants de l'Ecole du paysage. Encore faudrait-il leur offrir la formation dont ils ont vraiment besoin aujourd'hui. Comment agir sur les écosystèmes si on ne les connaît pas ? C'est bien d'enseigner la philosophie du paysage, mais il faudrait surtout multiplier les cours fondamentaux de botanique, apprendre les bases du vivant, des plantes, des insectes, des oiseaux !
Au moment où les chercheurs américains brevettent à tous crins (gènes, fragments de plantes, végétaux transgéniques ou classiquesƒ), transformant ainsi le vivant en marchandise, en France on supprime les postes de botanistes et la recherche fondamentale s'étiole. On a fait des pas de géant dans la prise de conscience du réchauffement climatique. Quand prendrons-nous enfin conscience de l'urgence à préserver le vivant ?
Propos recueillis par Weronika Zarachowicz
(1) A la suite d'une forte mobilisation, un amendement voté en décembre 2006 a autorisé à nouveau l'usage du purin d'orties. Mais, en octobre 2007, le décret d'application n'est toujours pas passéƒ laissant les utilisateurs du purin dans l'illégalité.
A VOIR Retrouvez le paysagiste Gilles Clément dans une étonnante création végétale et musicale, avec le pianiste Patrick Scheyder et la comédienne Marie-Christine Barrault, au Théâtre du Lucernaire, à Paris, du 16 novembre au au 18 décembre.

10/10/2007 réponse de : pierre

Merci victor de m'avoir fait lire cette superbe interview et de m'avoir permis de connaître un peu Gilles Clément. Il n'y a rien a jeter la dedans ...


12/10/2007 réponse de : Christophe

J'aime le style de Gilles Clément, sur le jardin de Javel-Citroen (Andre Citroen) nous avons travaillé, a notre examen, à découvrir la symbolique de se jardin, c'est un lieu de promenade que je conseil à tout le monde

Bonjour, je cherche le nom d'une plante qui fait des petites fleurs jaunes. Ses feuilles sont formées d'une trentaine de "petites feuilles". Lorsqu'on les touche, il y a une réaction et les "petites feuilles" se regroupent (mécanisme de défense pour ne pas se faire manger ses "petites feuilles") je crois qu'il y a "pudica" dans le nom latin. Merci d'avance

12/10/2007 réponse de : Christophe

il s'agit d'une espece de Mimosa, le Mimosa pudica (ou sensitive celon region) plus exactement, c'est un arbrisseau rampant. Ce mouvement de repli permet de se protéger des intempéries principalement mais aussi des prédateurs herbivores

Bonjour, Je voudrais réaliser un gabarit pour faire un canard paysagé mais je n'arrive pas à trouver le nom de ces créations pour trouver des conseils sur internet. Si quelqu'un peut m'aider, Merci

05/10/2007 réponse de : Christophe

Il s'agit de l'art topiaire, j'ai tenté une recherche sur votre sujet (canard) mais sans resultats, peu etre aurez-vous plus de chance que moi


09/10/2007 réponse de : SFR35

Merci pour l'info. J'ai recherché en indiquant art topiaire mais aussi sculpture végétale mais je vois des créations comme je recherche mais aucun modèle disponible. J'espère trouver dans les sites créatifs pour enfin réussir à faire mon gabarit moi-même.

Bonjour, j'ai dans mon jardin un groseiller planté il y a 2 ans et il n'a jamais produit.Comment pourrai-je le tailler et quand pour qu'il me produise une ou plusieurs belles grappes l'été prochain? Merci d'avance et félicitations pour votre site, fort utile aux jardiniers amateurs et professionnels! Elodie

09/10/2007 réponse de : Christophe

Une taille sévère des framboisiers est seule à même de garantir pour l'année suivante des tiges vigoureuses et surtout productives. Qu'ils soient remontants ou non, février est le bon mois pour tailler court.

Quand on a eu le mildiou sur des tomates dans une serre,faut-il enlever de la terre(ou du terreau) sur +/-10cm ou bien faire une désinfection du sol et quoi comme désinfection? J'envisage de mettre des racines de chicons dans cette serre
bonjour, j'habite dans la region de la marne et j'ai planté un bananier sur mon terrain et je voudrais savoir ce que je peut faire pour qu'il passe l'hiver, on m'a parlé de le coupé a raz et de mettre de la paille? merci de votre aide

30/09/2007 réponse de : Christophe

l'étape d'hivernage du bananier est un peu technique, je me permet donc de vous dirigez vers un site illustré de photos qui vous permettra de mieux comprendre: http://www.aujardin.info/fiches/protection_hivernale_musa.php


05/10/2007 réponse de : SFR35

Il faut le couper en bas des feuilles, lui mettre de la paille (jusqu'au plus haut de sa hauteur)et normalement il passera bien l'hiver.

Bonjour, je voudrais mettre des groseillers et framboisiers dans mon nouveau jardin (maison en lotissement avec petit jardin / dep 35). est-ce que c'est le moment ? est-ce que je peux faire des boutures ? quelle est la meilleure exposition ? merçi d'avance.

05/10/2007 réponse de : Christophe

Il vous faudra un peu de patience pour la plantation elle se fait au printemp (profitez pour eradiquer les mauvaise herbes qui seront par la suite trés difficile à enlever). Pour les boutures de framboisier s'est inutile il emet chaque année une multitudes de rejets qui vous suffira de separer du pied mere, Les framboises demandent une situation ensoleillée — exposition sud — sud/est — à la rigueur un léger ombrage. pour les groseilliers planter de préférence à l'automne, dans un emplacement abrité du vent, ensoleillé, orienté à l'est, voire légèrement ombragé, bouturage sur rameaux de l'année de aout à septembre, voila tout.

Bonjour, Je viens sur les conseils de mon voisin jardinier de répendre 40 kg de lithotame et 10 kg de chaux en granulés sur une parcelle ou il y a eu des pommes de terre. L'an dernier à cette époque sur cette même parcelle, j'avais mis du fumier de vache bien mûr. Est-ce que je pourrais faire au printemps une deuxième plantation de pommes de terre au même endroit ? merçi d'avance pour vos conseils.

03/10/2007 réponse de : victor

Pas de problème pour la plantation de pommes de terre au même endroit une deuxième fois mais ensuite il faudra faire une rotation de culture. Le mélange que vous avez fait est correct (lithotame + chaux). La chaux va brûler et désinfecter la terre. Il ne faut pas mettre de fumier avant les pommes de terre qui risque de les tâcher. Ce que je ferais maintenant après avoir enfouit ça au motoculteur, c'est de semer un engrais vert (moutarde ou phacélie) qui couvrirait la terre pour l'hiver.

Bonjour, j'ai déjà vu des arbres fruitiers chaulés (blanc sur toute la hauteur du tronc) et je me demande si c'est efficace et à quel moment il faut le faire. Merçi d'avance.

28/09/2007 réponse de : Christophe

C'est à faire au printemps quand les bourgeons sont venus et on donné des pousses, cela donne de bons résultats, comme la plupart des traitements preventif.

bonjour je vais créer un potager sur un remblai . J'ai trouvé de la tres bonne terre vegetale et sablonneuse . Je compte en mettre 40 cms . Qu'en pensez vous si je mets un plastique isolant sur le remblai et sous la terre evidemment , afin de conserver l'humidité . Le plastique sera troué a de nombreux endroits afin d'evacuer l'eau Qu'en pensez vous et vos idées sur le sujet merci

12/09/2007 réponse de : pierre

Pas une bonne idée la bâche, mettez votre bonne terre directement sur la terre de remblai


26/09/2007 réponse de : Pycris

Bonjour, l'idée de la bâche n'est pas bonne, à oublier..... Il y a des idées d'aménagement sur ce site http://www.1er-jardin.com/-LE-SOL-

Bonjour, je viens d'arriver dans une maison avec un beau jardin malheureusement sans plantes (gazon). J'ai envie de planter plein de fleurs notamment des vivaces mais j'hésite entre maintenant et attendre le printemps. J'ai peur qu'elle ne passent pas l'hiver (Picardie). Que me conseillez-vous ? merci d'avance.

16/09/2007 réponse de : Christophe

Votre raisonnement est bon attendez le printemps avant de plantez vos vivaces, vous aurez plus de chances de reprise, profitez en pour bien préparer vos futurs massifs


25/09/2007 réponse de : Michel

j'habite les vosges ' et ici le climat estplutot froid . Je fais du jardin depuis un moment et je peux vous garantir que la meilleure période de plantation est incontestablement l'automne . Vous pouvez commencer dès maiteant car la terre n'est pas trop refroidie . Bon courage et bon jardinage


25/09/2007 réponse de : Christophe

C'est vrai l'automne est idéal pour la plantation d'arbustes, d'arbres, de certains bulbes printaniers, mais je le deconseil pour les vivaces car le stress de difference de temperature (serre et exterieur), la mise en ralentie d'activité par hivernage de nombreuses vivaces, l'adaptation de la plante au sol,la resistance au gel,..en faîte beaucoup moin de chances pour les vivaces de repartir serennement alors qu'un peu d'attente permettrai de bon pourcentage de reprises (c'est d'ailleur pour cette principal raisons que l'ont en vent partout en mars - avril)


26/09/2007 réponse de : Pycris

Bonjour, Comme l'automne commence tout juste et qu'il ne fait pas froid encore, profitez-en pour planter vos vivaces. Parmi vos amis, il y en a qui ont des jardins et là, c'est le moment de nettoyer et diviser les vivaces ayant défleuri. Comme il y en a toujours trop et qu'il est dommage de les jeter aux déchets verts, ils se feront un plaisir de vous en faire profiter. Sur ce site, quelques conseils pour bien planter : http://www.1er-jardin.com/DIVISION-DES-SOUCHES

Je cultive des tomates dans une serre.Après une première culture ratée(mildiou),j'ai recommencé avec de nouveaux plants.Jusqu'a présent j'ai des belles tomates.Mais je constate des petites bêtes blanches genre puce qui sautent d'un plants à l'autre et ça me fait peur.J'ai protégé mes plants avec de la bouillie bordelaise(peut-etre pas assez?)et j'ai mis des feuilles d'ortie sous les racines.que me conseillez-vous? Ps:Les bêtes blanches se trouvent surtout sur des plants type ROMA

26/09/2007 réponse de : Pycris

Bonjour, les insectes qui colonisent vos tomates sont probablement des aleurodes (ou mouches blanches). La bouillie bordelaise traite les maladies genre mildiou ou oïdium mais n'aura aucun effet sur les insectes. Sur ce site http://www.1er-jardin.com/Insectes-et-leurs-degats-sur-les-feuilles vous aurez des conseils pour lutter contre ces insectes.


26/09/2007 réponse de : Christophe

effectivement il peu sagir des aleurodes qui prospére enormement sur les plants de tomates ainsi que les Choux

bonjour - je voudrais savoir pourquoi les feuilles de mes géraniums sèchent énormément (ce n'est pas par manque d'eau) autre question : puis je consommer mon basilic sur lequel sont déposé des aleurodes ? merci pour vos réponses

25/09/2007 réponse de : Christophe

Drôle de réaction, puisque effectivement en cas de manque d'eau le pélargonium a tendance à jaunir des feuilles et à les perdre. Sa rusticité étant autour de 0°C mais les premiers dégâts du froid peuvent apparaître en dessous de 4°C, attention aux vents froid (quoique le froid donne quelquefois de jolies colorations rouges aux feuilles). Attention aussi si vous avez des pots plastiques, tôles, béton,ƒ (Sauf terre cuite) en plein soleil le conteneur devient un vrai four qui évapore rapidement les arrosages. Il peut s'agir aussi d'un champignon avec toute l'humidité de cet été. Pour les aleurodes même si l'insecte n'est plus présent je vous déconseille de les utiliser, ces insectes suceurs pondent des oeufs quasi invisible (non dangereux pour la santé) mais affaiblisse beaucoup la plante qui ne développe pas un gout optimal et certaines plaies peuvent être infectaient de champignon (principalement le pourridié)


25/09/2007 réponse de : lyse

merci christophe pour votre réponse

J'ai l'intention de remplacer notre haie de thuya par une clôture en fer forgée derrière laquelle je voudrais planter une haie fleurie. Hors je ne sais pas quels arbustres choisir? Votre aide sera la bien venue.

25/09/2007 réponse de : Christophe

La diversitée étant énorme, et ne connaissant pas vos gouts je vous envoie vers ce site : http://www.aujardin.info/fiches/encyclopedie-haies.php

Bonjour, Voila j'habite dans la champagne, donc avec un sol tres calcaire, je souhaite planter une haie tres dense a cause d'un vis a vis important mais quel type de haie pouvant tenir dans un sol crayeux a exclure le tuya a cause des maladies donc si vous avez quelques renseignements? merci

25/09/2007 réponse de : Christophe

Voila un petit inventaire des plantes qui ne craignent pas les calcaires : - Fleurs : Anémone, Ancolie, Dicentra spectbile (coeur de Marie), OEillet, Pivoine, Primevère —Arbustes : Buddleia, Clématite, Forsythia, Lilas, Seringat, Spirée, Yucca - Arbres : Aulne, Arbre de Judée, Bouleau, Charme, Hêtre, Marronnier, Noisetier, Mûrier, Peuplier, Tilleul —Légumes : Aubergine, Carotte, Céleri, Chou, Echalote, Laitue, Oignon, Pois, Pomme de terre, Radis, Salsifis, Tomate — Fruitiers : Noisetier, Noyer, Olivier, Prunier, Vigne